Répliques de films Nanars
Chuck Norris dans Portés disparus 3, 1988
Je mets les pieds où je veux, et c’est souvent dans la gueule.
Hitman le Cobra, 1987
Philiiiiiipe, je sais où tu te caches, viens ici que j’te bute enculé ! – Ta gueule ! Viens ici sale enculé !
Maîtresses très particulières, 1979
Tu retires tout y compris le Tampax, j’veux qu’ce soit un effeuillage de grand luxe, j’veux du sexy. Savoir créer la jouissance c’est tout un art. – Ça va, je t’excite assay ?
En ce moment je parierai que tu t’imagines déjà que tu suces ma bite au rythme du coup de fouet de mes couilles sur ta gueule.
Air Strike, 2002
Je vous hais tous au plus haut point, vous et votre clique de terroristes vous n’êtes qu’un sale gang d’assassins de bas étage des putains d’enfoirés qui font chier la terre entière et encore je reste poli donc si vous voulez vous adressez à moi, essayez plutôt de causer à mes burnes.
Terrain miné, 1994
C’est le genre de type qui boirait un bidon d’essence pour pouvoir pisser sur ton feu de camp. Ce mec-là, tu le largues au pôle nord, sur la banquise avec un slip de bain pour tout vêtement, sans une brosse à dent et demain après-midi tu le vois débarquer au bord de ta piscine avec un sourire jusqu’aux oreilles et les poches bourrées de pesos.
Je veux que tu protèges cette entrée comme si c’était le pucelage de ta sœur.
Rambo 3, 1988
Où est-ce que les missiles sont localisés ? – Dans ton cul !
Delta force 2, 1990
Votre contact dans le village est une indienne, elle s’appelle Quinquina Esquintla. – Elle est sûre ? – Ramon a d’abord tué son mari, puis il a assassiné son bébé, et dans le corps de l’enfant, il a passé des kilos de cocaïne et il a violé la fille… Ce n’est peut être pas nécessaire de lui en parler quand vous la verrez. C’est une jeune femme très sensible.
Terreur à Hong-Kong, 1995
T’es pas une femme, t’es une salope.
Karate Tiger 2, 1989
Je tuerai le pédé qui nous a envoyé cette conne, elle sait pas faire la différence entre un moteur et un mixeur (…) je l’ai pas sauté alors elle me fait la gueule.
Sloane, 1985
Toi tu es pire qu’un suppositoire.
Vivre pour survivre, 1985
Fais un effort, ma patience a des limites mais il ne faut pas exagérer.